Le professeur Michał Grabowski du Département de zoologie et d’hydrobiologie des invertébrés de la Faculté de biologie et de protection de l’environnement de l’Université de Lodz a été invité au réseau international de recherche Barcode Life (iBOL), qui traite de l’identification et du tri des espèces modernes à l’aide de codes génétiques, c’est-à-dire de séquences de nucléotides d’ADN, informe le Centre de promotion de l’Université de Lodz.
Le tri des espèces avec des séquences nucléotidiques d’ADN a été mis au point en 2003 par des scientifiques de l’Université de Guelph au Canada. C’est une nouvelle méthode qui permet d’évaluer la diversité des êtres vivants. C’est comme attribuer des codes-barres à des marchandises dans un hypermarché. Les scientifiques utilisent un fragment spécifique de la séquence d’ADN pour identifier une espèce qui ne peut pas être confondue avec un autre fragment.
A ce jour, le réseau de recherche iBOL (The International Barcode of Life) a réuni 28 pays des cinq continents. La Pologne sera le 7ème pays européen à rejoindre l’organisation.