Des chercheurs de la Polytechnique de Wrocław et de l’Université du Witwatersrand à Johannesburg travaillent sur un modèle numérique d’une chaudière électrique qui montrera les changements dans son fonctionnement lorsque davantage d’énergie provenant de sources renouvelables (SER) est injectée dans le réseau et que les centrales électriques au charbon doivent fonctionner avec moins d’efficacité.
Une équipe de chercheurs de Pologne et de la République d’Afrique du Sud a l’intention – au moyen d’une simulation informatique – de déterminer un régime de fonctionnement sûr des chaudières avec un minimum technique sous-estimé (lorsque davantage d’énergie provenant de sources renouvelables est injectée dans le réseau). Les chercheurs pourront également indiquer les plages de fonctionnement possibles sans modification de la partie sous pression et du système de combustion, avec des changements mineurs du système de contrôle ou des modifications importantes de certains composants.
Des expériences concernant, entre autres, une réduction plus efficace des oxydes d’azote et du mercure générés lors de la combustion dans les centrales électriques font également partie du projet – lit-on dans le service de la Polytechnique de Wrocław.
Pour en savoir plus : https://pwr.edu.pl/uczelnia/aktualnosci/duzy-projekt-wydzialu-mechaniczno-energetycznego-z-uniwersytetem-z-rpa-11491.html